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jeudi 23 août 2012

Par où je commence?

Le jour où ces deux machines débiles se sont imposées dans ma vie, je ne pensais pas mettre à ce point les pieds dans un petchi parfaitement organisé. Tombée nez à nez avec la fiction de "Globalia"(roman de Jean-Christophe Rufin), je rampe à la recherche d'une sortie qui tarde à se montrer. La vérité est que la direction donnée au monde actuellement s'inspire davantage de Thomas Malthus (http://fr.wikipedia.org/wiki/Malthusianisme) que de Nelson Mandela...
Domdom m'informe régulièrement des fruits de sa pêche à l'information. Sa dernière trouvaille s'appelle la Revue Z.  (www.zite.fr) J'ai sous les yeux le numéro 4 , édité en 2010. Je voudrais bien partager sur ce blog chaque article que j'y lis. La Mission s'avérant difficile, je vous recommande donc de tenter de vous la procurer. Ecologie de marché, industrie éolienne, éco quartier de Nantes, essais nucléaires, j'en passe et des meilleures, au fil des articles je ne peux que constater que tout ce petit merdier sort du même tuyau.
Visionné ce matin, ce reportage au Brésil pourrait bien ouvrir les yeux de ceux qui y croient encore: http://www.rts.ch/docs/ete/4155322-le-doc-de-l-ete.html
Quand je pense que des paysans, ici à Saint-Brais, disent que les anti-éolien scient la branche sur laquelle ils sont assis, je ne peux que constater l'immense réussite des techniques de communication utilisées par les voleurs de terres, les usurpateurs de l'écologie, les malthusiens du développement durable: Ils réussissent à diviser les communautés pour mieux les piller et les ranger dans les moules qu'ils  construisent à leur intention pour en faire des travailleurs dociles et mal payés, ou des exclus qu'ils laisseront crever sur le bas côté des routes qu'ils construisent pour mieux envahir et maîtriser.

1 commentaire:

  1. labranchenecasserapas26 décembre 2012 à 10:47

    Et pourquoi pas une fable de la fontaine?

    LA PERDRIX ET LES COQS

    Parmi de certains Coqs, incivils, peu galants,
    Toujours en noise, et turbulents,
    Une Perdrix était nourrie.
    Son sexe, et l'hospitalité,
    De la part de ces Coqs, peuple a l'amour porté,
    Lui faisaient espérer beaucoup d'honnêteté :
    Ils feraient les honneurs de la ménagerie.
    Ce peuple cependant, fort souvent en furie,
    Pour la dame étrangère ayant peu de respec,
    Lui donnait fort souvent d'horribles coups de bec.
    D'abord elle en fut affligée ;
    Mais, sitôt qu'elle eut vu cette troupe enragée
    S'entre-battre elle-même et se percer les flancs
    Elle se consola. "Ce sont leurs moeurs, dit-elle ;
    Ne les accusa point, plaignons plutôt ces gens :
    Jupiter sur un seul modèle
    N'a pas formé tous les esprits ;
    Il est des naturels de Coqs et de Perdrix.
    S'il dépendait de moi, je passerais ma vie
    En plus honnête compagnie.
    Le maître de ces lieux en ordonne autrement ;
    Il nous prend avec des tonnelles,
    Nous loge avec des Coqs, et nous coupe les ailes :
    C'est de l'homme qu'il faut se plaindre seulement."

    Écrit par : La branche ne cassera pas! | 24/08/2012

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