Un séjour dans
n'importe quelle capitale suffit à nous faire comprendre l'absurdité de
la grand messe des nouvelles énergies. La simple remise à l ordre de la
dérive de mise dans les royaumes de la consommation, de l'exploitation
des sols et des privilèges scandaleux mis à la disposition des nantis
suffiraient à préserver nos vies et nos paysages. On veut nous obliger à
subir des éoliennes au nom de l intérêt national? Un petit tour dans le
monde et la mascarade saute aux yeux. Pigeons ils nous pensent et
pigeons nous serons si nous continuons à accepter leurs règles du jeu.
Toutes ces belles inventions ne font que contribuer à l' enrichissement
d'une petite partie des uns et l'appauvrissement des autres. J 'ai beau
le savoir, chaque fois que je suis directement confrontée à l 'énormité
de la chose, la passivité des uns et les doutes des autres
m'apparaissent comme une forme d'ignorance, de lâcheté, mais aussi de
peur: la peur d être dans la prochaine charrette des exclus. Vendre sa
terre c 'est creuser la tombe qu 'ils ont choisi pour nous. Interdit
d'interdire? Prochaine étape? Les exemples ne manquent pas dans l
histoire. Bon baiser d'une capitale. Voisine
RépondreSupprimerCes derniers temps j'ai du sortir de ma campagne pour la ville ! Ma conclusion : Je refuse de sacrifier notre paysage devant un tel gaspillage !!!!
Écrit par : Ouragan furieux | 30/10/2012