Etat des lieux:
- 2016, l'année où Mme de Quattro rit publiquement des futurs victimes des éoliennes:
Madame de Quattro n'a pas vraiment le sens de l'humour. Sa prestation dans l'émission 26mn à revoir ici le démontre bien. Mais on la voit dans cette émission rire nerveusement des alertes qu'elle reçoit au sujet de personnes âgées qui pourraient souffrir d'un voisinage d'éoliennes industrielles, tout comme de la menace de disparition d'espèces animales.Un dossier extrêmement sérieux a été présenté à son département sur le problème que posent les infrasons aux personnes prises en otage à proximité d'un parc éolien. Comment parler différemment de ceux et celles qui, en institutions pour personnes âgées ou hospitalisées, ne pourront pas faire autrement que de subir ces nuisances si elles y sont sensibles? Il y a dans le dossier que vous pouvez consulter ici de quoi inquiéter et faire comprendre de quoi parlent les personnes qui vivent mal ce voisinage. Mais cette responsable politique s'excite comme une puce en évoquant ceux qui alertent sur ces souffrances probables, comme si il s'agissait d'idioties. Toutes les études référencées dans ce dossier ne sont pourtant pas signées par des idiots, mais par des scientifiques renommés... La chasse aux intellectuels et aux scientifiques qui ne marchent pas dans les combines des gouvernements aurait-elle ouvertement commencé en Suisse aussi?
2016, l'année où l'OMS ignore un rapport sur la santé des enfants instruits à proximité des éoliennes industrielles
Extrait: (...) En définitive, dans un nombre croissant d’écoles, tous ces impacts négatifs pour la santé se cumulent. Mais clairement, de par mon expérience telle que résumée ci-dessus, les éoliennes sont responsables de l’impact le plus nocif. Le rapport ici
2016, l'année où l'on apprend qu'en Australie le sénat enquête sur la gestion réglementaire et l’impact économique des éoliennes industrielles. Des éleveurs de moutons témoignent:
Extrait: (...)En avril 2012, nous avons trouvé des agneaux malformés, ce que nous n’avions jamais vu auparavant pendant toutes nos années d’élevage. Lors de la commercialisation, nous avons remarqué que le troupeau le plus proche des éoliennes avait agnelé avec un taux de seulement 37 pour cent, alors qu’ordinairement nous avions une moyenne de 85 pour cent pour nos mérinos. Le témoignage complet ici
À suivre.
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