"Je suis fière de laisser ces belles machines à nos enfants" Isabelle Chevalley, conseillère nationale |
La gifle infligée par les SIG à la lionne des éoliennes l'avait réduite au courant d'air après qu'elle se soit prise pour la rose des vents...
Malheureusement elle ne doit pas douter souvent de sa légitimité notre madame-je-sais-tout, elle s'accroche autant qu'elle peut à ses illusions ou tente autant qu'elle peut d'accrocher avec des illusions.
Elle se ré-exprime sur ses chères hélices et cette fois on se met à trembler pour notre avenir, parce que de tels arguments de la bouche d'une conseillère nationale n'augurent rien de bon sur le niveau atteint sous la coupole. Entre le vert nu (ici), le vétérinaire qui nous demande de choisir entre les humains et les poissons (ici) et la mangeuse d'insectes (ici) moi je commence à craindre le pire...
Je ne vais pas commenter cet article dont la pauvreté saute à l'esprit. Juste la dernière phrase: "Je suis fière de laisser ces belles machines à nos enfants... dit-elle. Je lui pardonne, elle n'a pas d'enfant, elle ne prend pas trop de risque. Mais ceux qui en ont, eux, craignent comme la peste de leur laisser ÇA.
Évidemment quand on mange des insectes, c'est plutôt intéressant si l'on en croit cet article. Elle assure en quelque sorte ses filets de pêche pour attraper les bestioles qu'elle sert aux parlementaires.
Cette dame devrait peut-être s'inquiéter pour son garde manger à lire ceci...
Ce que cette personne a oublié de dire c'est que nos enfants auront les éoliennes ET les déchets...Mais a-t-elle seulement quelque chose entre les deux oreilles????????
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Cet été, comme vous me l'avez dit, ma chère Voisine, j'ai vu le meilleur, les grands espaces vierges de Norvège, de ceux qui font battre le coeur plus vite. Et le pire en traversant l'Allemagne et le Danemark...Les choses qui hérissent les environs de Hambourg n'appartiennent pas au monde du beau. Ce ne sont pas des cures-dents et j'ai maintenant la conviction intime provenant de mon vécu visuel que ceux qui soutiennent que ces choses puissent s'intégrer en harmonie sur nos crêtes jurassiennes ne savent pas de quoi ils parlent et n'ont peut-être jamais vu à quoi ressemble une 7.5 MW...Vouloir amener 1000 de ces horreurs, voir plus selon certains autres ignorants (van Singer ou encore Thorrens), tient selon moi du suicide spirituel et sensuel. Nous ne pouvons pas faire abstraction de notre environnement. Si nous le sacrifions, nous nous amputons d'une partie de nous-même. Mais pour se rendre compte de ce que nous avons à perdre, encore faut-il avoir fait l'expérience une fois dans sa vie de l'émotion qu'offre la nature à son origine...
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Et chez nous aussi, nous avons le devoir de protéger notre pays et nos splendeurs
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Pensez-y Isabelle, et svp faites quelque chose pour votre corps, votre esprit et la planète: offrez-vous quelques jours de trek en immersion complète . Vous verrez la nature qui vous entoure avec des yeux neufs...Et vous aurez probablement moins envie de la souiller avec des machines qui n'ont rien à y faire...
RépondreSupprimerEléments de notre patrimoine, protégés demain!!!!
Cachés par des éléments paysagers, parfois des bâtiments!!!!
Grand n'importe quoi cet article!!
La présidente de Suisse Eole vieillit très mal, il serait grand temps que cette demoiselle se lâche ailleurs que dans la magouille éolienne!
Ses futurs enfants c'est sur et certain la remercieront après.........
Cher Vent de folie, j'espérais bien vous lire sur ce sujet, vous mettez le doigt avec beaucoup de sensibilité sur ce qui nous anime. Merci. Ne serions-nous pas une espèce menacée? De celle qui refuse de renoncer au privilège de la beauté à la portée de tous?
RépondreSupprimerVous avez lu comme moi les difficultés de l'hydraulique en Suisse. Je m'étonnais auprès d'un député du fait que personne ne pose la question de savoir pourquoi cette électricité finit sur le marché européen alors qu'elle est sensée produire le 60% de la consommation nationale. Je lui demandais quelle dimension me manque pour ne pas comprendre la logique qui veut que nous construisions de nouvelles infrastructures de production alors que celles existantes semblent ne pas être écoulées chez nous. Réponse du député: Il vous manque la dimension fric.
Que du bonheur me dis-je. Si manquer de la dimension fric c'est rester capable de défendre la puissance et la beauté de la nature qui ne rapporte rien, de sentir la force qu'elle nous donne et de réfléchir à l'avenir en terme de qualité de vie, de santé, de bien-être, c'est que nous avons été épargnés. Epargnés du virus de la réussite, de la carrière. Epargnés du syndrome de la peur de l'autre, de la peur de manquer, de devoir partager, etc.
Chère fleur des pâturages, notre inconditionnelle des pales n'aura plus de comptes à rendre à ses futurs enfants,le temps a passé. Dommage, elle aurait moins de temps à consacrer à la haine. Ses interventions sont toujours empruntes de mépris pour ceux qui ne pensent pas comme elle. Elle a sans doute adorée être la jeune politicienne impertinente qui a fait son succès. Elle se complaît dans ce rôle qui lui va de moins en moins bien, mais elle ne le remarque pas parce qu'aucune jeunesse ne pousse à côté d'elle pour lui rappeler qu'elle vieillit...
http://php-jura-bernois.ch/
RépondreSupprimerSOS comment interrompre la menace programmer de Tramelan ?