Ceci a rendu d'autant plus difficile le retour sous le joug de ces machines après la réparation.
Ce matin, dans mon lit je me suis dit que vivre à la campagne avec des éoliennes industrielles, c'est comme vivre à côté d'une source d'eau pure et d'être forcé de boire l'eau des égouts.
Ou encore, comme si l'on mettait en cage tous les oiseaux, pour ensuite les suspendre dans les arbres en forêt.
Page source de l'image : http://www.pleinlabobine.com/programme6tr15th65.html
Je dois vous avouer que je suis surpris par la patience des personnes habitant à proximité de ces monstres. S'il y en avait près de chez moi, j'ai bien peur qu'ils ne soient pas en état de tourner très souvent.
RépondreSupprimerEt bien j'ai envie de vous inviter à Saint-Brais, ou au Peuchapatte, il y a des maisons à vendre... :-)
RépondreSupprimerDans la revue de presse de ce soir je lisais les termes sortis de la bouche d'un promoteur éolien, je copie colle son propos:
"...Pourtant, dans le secteur, je peux vous dire qu’il existe de véritables gangsters. Disons-le franchement, l’éolien, pour l’instant, c’est n’importe quoi. On est dans une espèce de tourmente. L’éolien, c’est Dallas !"
Et ce n'est pas un opposant qui tient ces propos, c'est un des leurs!
Contre les gangsters, il ne faut pas prendre les armes, il faut rester honnêtes, c'est ce qui leur manque et c'est ce qui nous rend crédibles. Nous n'avons pas besoin de terroriser (Mexique) ou de mentir (partout) comme eux, il suffit de dire la vérité et d'ouvrir les yeux des citoyens. Je connais énormément de pro-éolien devenus anti, mais l'inverse n'existe pas.