Que font les politiques lorsque 46 millions de francs d'argent provenant des pouvoirs publics sont dilapidés par des apprentis?
Réponse: Ils cherchent d'autres apprentis.
Les déclarations de ces deux politiciens ici donnent une image assez claire de l'incapacité de nos élus à analyser les conséquences des erreurs commises. Si les SIG ont échoué d'autres réussiront, pour eux le chemin d'ici à là est d'une déconcertante simplicité. Pas un mot sur les partenaires privés qui s'infiltrent dans ces entreprises partout, jouant le rôle de chasseurs de terres et de maires à coups de millions. Pas un mot sur ces idéalistes à la dérive qui assènent leur vérité sous couvert de doctorat complètement étranger au développement des énergies durables. Pas un mot sur les villages qui les uns après les autres disent non à l'éolien et qui réclament une transition énergétique moins orientée pognon.
Un canton a perdu 46 millions de francs par manque de discernement, d'expérience, d'écoute et d'humilité face à la volonté populaire et les lois de la nature? Mais ils s'en fichent royalement! L'argent public ne semble pas en être pour eux. Ce que leurs copains encaisseront sur le dos des pigeons qui les ont élus sera prélevé sur la culture, l'éducation, les services sociaux. Ils vendront des biens publics, comme des immeubles avec des appartements à loyers modérés (bannissant au passage les revenus modestes des régions qu'ils gèrent) augmenteront les factures d'électricité en inscrivant le mot vert sur le total pour faire passer la pilule, etc. Ils savent bien qu'ils n'auront aucun mal à convaincre une majorité assommée par son devoir de consommation le moment venu.
Le pouvoir engendrerait-il des comportements autistes? La définition que donne wikipédia de ce trouble de la personnalité pourrait bien nous le faire craindre:
" Trouble du développement humain caractérisé par une interaction sociale et une communication anormale, avec des comportements restreints et répétitifs"
image: etienne.chouard.free.fr
Qui mais Qui donc sont ceux qui se réjouissent de la curée des SIG? la Romande énergie peut-être...elle qui annonçait crânement sa volonté d'investir plus de 500 millions dans l'éolien industriel un jour avent l'"affaire" SIG....
RépondreSupprimerAUDITs ET ENQUÊTES SUR VAUD AUSSI PLEAAAAAAAAAAAAAAASE...
Bien que le texte cité ci-dessous - et qu'il est recommandé de lire- ne concerne dans certains de ses passages que la Belgique, ce qui y est développé peut permettre une meilleure compréhension de ce qui se passe aussi en Suisse avec le dossier des énergies renouvelables.
RépondreSupprimerEt comment il est encore possible, en dépit du bon sens ( économique et énergétique) que nous ayons en face de nous des politiciens aussi convaincu avec l'éolien industriel, alors, qu'en réalité, ils ne connaissent rien à ces machines.
Qu’est ce qui fait soupçonner une arnaque dans l'éolien ?
http://www.leseoliennes.be/economieolien/arnaqueeolien.htm
Voici un extrait:
"La propagande éolienne a eu l'art de profiter d’autres campagnes médiatiques associées, lesquelles célèbrent le renouvelable. Ils se sont trouvé un but commun avec un courant idéologique qui désire un gouvernement mondial car un pouvoir plus dirigiste leur semble indispensable pour résoudre les problèmes mondiaux de surexploitation (pêche, eau, biodiversité, pollution, CO2, climat, population). Sous cette influence, de nombreux postes de fonctionnaires ont déjà été créés pour l’environnement, renforçant les nuisances de la révolution verte. Selon Lord Monckton, un gouvernement de bureaucrates se met en place. Des ONG ont été subsidiées pour diffuser la propagande."
En cliquant sur le nom de ce Lord Monkton, nous arrivons sur le site suivant:
L'institut des sciences et politiques publiques (SPPI)
http://scienceandpublicpolicy.org/
Et l'article de Lord Monkton est édifiant.
http://sppiblog.org/news/cancun-the-abdication-of-the-west
Isabelle dit que c'est rentable. Petit P.K trouve que c'est un beau projet. La RPC leurs brule les poches. Ce n'est pas de l'électricité qu'ils attendent, c'est du pécule.
RépondreSupprimerEt ENOVA m' ENERVA,
Claude