Allez, vas-y bourrique, cours pour nous! On ne sait pas où on va mais on sait combien on aura... |
J'ai entendu ce matin le maire de la commune de Premier dans le canton de Vaud, se plaindre du manque de soutien de la part du Canton pour faire avancer les projets éoliens dans sa région...
Cher Monsieur, si les autorités cantonales étaient aussi peu futées que celles des communes, il y a longtemps que les citoyens reposeraient sous le béton de leurs bonnes intentions! Il suffit de vous écouter pour remonter à la source de vos souffleurs: Les employés de l'éolien vous piquent les fesses pour vous faire monter au front contre ces soi-disant trop longues procédures qui empêchent leurs business de voir le jour et feraient le lit des anti-éoliens.
Ils hantent aussi les consultations publiques pour marteler leur credo: "Délivrez-nous de ces affreux anti-éolien minoritaires et si bruyants"! Ils sont généralement jeunes, moyennement instruits, juste assez pour s'exprimer clairement, limite agressifs, taillés comme des bûcherons, recyclés en commerciaux. Ils attaquent tout, les procédures, les riverains, les gouvernements trop laxistes, les chauve-souris, les grenouilles, tout ce qui les empêche de" faire du bien"!
Pourtant les professionnels de la branche, leurs employeurs, n'ont pas à se plaindre. Les états se plient en quatre pour leur faire de la place là où aucune industrie n'aurait jamais pu rêver s'implanter: En pleine nature, sur les territoires protégés, sans avoir à s'encombrer de lois contraignantes puisque leurs poules aux oeufs d'or sont jugées d'utilité publique grâce à la naïveté des marionnettes manipulées de très haut.
En plus le contribuable paie pour qu'ils puissent faire du bénéfice via la distribution de subsides (RPC). Des associations comme Suisse Eole, très généreusement subventionnées par la Confédération, ouvrent la voie aux bulldozers à coup de séminaires bidons et de publicité douteuse. Les cantons se plient en quatre pour assoir aux tables de ces pleurnicheurs tout ceux qui pourraient freiner leurs projets, ce n'est pas gratuit et c'est aussi le citoyen qui passe à la caisse. Les politiques n'en finissent pas de se déplacer pour dire la messe du vent, qui paie la note de frais? Combien de PME peuvent se vanter d'autant d'attention de la part des pouvoirs publics? Et les maires facturent sans aucun doute des déplacements et reçoivent des jetons de présence pour faire le boulot de promotion auprès des citoyens et des cantons pour le bénéficiaire du projet! Ils ne savent même pas ce qu'est le facteur de charge d'une éolienne, ils n'ont jamais lu une étude autre que celle fournie par leur mentor, ils détruisent la paix sociale de leur commune juste par loyauté envers une industrie qui ravage le monde dans leur dos et peut se déguiser en voleur, en assassin selon dans quel pays elle sévit! Donc en Suisse, elle est verte et vertueuse, parce que c'est ce qui marche dans le coin pour placer ses mâts!
En Espagne, l'argent est venue à bout des résistances. Ils tournent leurs parcs pour l'amour des autres et de la nature! Et comment va l'Espagne? Où sont les bénéfices promis, imaginés, supposés? Je doute que la population en aie vu la couleur! Pourtant l'argent a coulé à flot pour certains...
Extrait d'un article dans "El Pais": Dans certains cas, les entreprises ont multiplié leur capital initial investi par des centaines, voire des milliers de fois.
Avec d'autres fonctionnaires, Delgado Núñez a été appelé à faire une déclaration aux inspecteurs de l'impôt. Selon son témoignage, qui a été inclus dans la vérification, il a déclaré: la procédure dans la région était "très efficace" parce qu'il n'y avait pratiquement pas de cadre juridique soutenant ces opérations à l'époque et le gouvernement voulait s' assurer simplement que "les entreprises suivaient les directives des intérêts régionaux. " lire la suite de cet article ici où l'on découvre les fameux dessous de l'industrie éolienne, ces dessous que les suisses ne veulent pas voir, prudes et cons à la fois.
Avec d'autres fonctionnaires, Delgado Núñez a été appelé à faire une déclaration aux inspecteurs de l'impôt. Selon son témoignage, qui a été inclus dans la vérification, il a déclaré: la procédure dans la région était "très efficace" parce qu'il n'y avait pratiquement pas de cadre juridique soutenant ces opérations à l'époque et le gouvernement voulait s' assurer simplement que "les entreprises suivaient les directives des intérêts régionaux. " lire la suite de cet article ici où l'on découvre les fameux dessous de l'industrie éolienne, ces dessous que les suisses ne veulent pas voir, prudes et cons à la fois.
Ils tuent au Kenya, ils menacent au Mexique, ils achètent la Grèce...
Et ici tout le monde paie pour leur ouvrir le ventre de nos terres! Je vous garantis qu'ils ne sèmeront pas plus qu'ailleurs les cailloux blancs qui nous mèneront jusqu'aux coffres qui renfermeront ces millions d'argent public prélevé sur leur passage! Et dans 20 ans bien malin sera celui qui retrouvera le payeur pour débarrasser les carcasses. Enfin, quand je dis dans vingt ans, je suis en plus optimiste, à Flos, comme vous pourrez le suivre ici, on change les pales d'un parc qui a ... 10 ans!
Imbéciles!
P.S. J'ai oublié de vous dire, selon la lettre d'information géopolitique de l'électricité No 52 de Global Electrification, on n'a jamais construit autant de centrales nucléaires dans le monde. Alors vos petites phrases, "il faut bien faire quelque chose", ou "vous préférez une centrale nucléaire?" vous les gardez pour vos prières.
Et pour tous ces maires qui refusent de protéger leurs voisins, ils auront peut-être une émotion pour les oies? À lire ici
Et tellement d'autres espèces... à lire tristement ici
une dame témoigne pour suisse éole
RépondreSupprimerhttps://www.youtube.com/watch?v=8qyvyNGzfN8
comme tout paraît simple ... mais que sait-elle de cette industrie ?
L'attitude de cette dame me fait penser à celle de l'Australie face aux réfugiés: Qu'ils meurent chez eux. Elle doit être à mille lieux d'imaginer ce qu'elle cautionne réellement, vous l'avez dit Charles-André. Ce qui est drôle, ce sont ces gens qui nous accusent de ne protéger que notre jardin, alors qu'ils ne se préoccupent de rien d'autre que de leur vision étriquée du monde en soutenant l'industrie éolienne. Produire, consommer dussions-nous y perdre chaque parcelle de notre terre, voilà un bel avenir pour les enfants de la gentille institutrice valaisanne! Sûrement plus copine d'Isabelle que voisine d'éolienne :-)))
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