Nous sommes de grands imbéciles dociles et les plus faibles paient le prix fort de notre aveuglement. |
Embarquez-vous dans le dernier documentaire que Michael Moore a produit, à voir impérativement ici
À lire la tempête qu'il soulève sur les réseaux sociaux, autant dire qu'il touche là où ça fait mal. Cons-verdis, heu pardon, convertis s'abstenir.
Je vous transmets encore ici une tribune publiée ce jour dans le journal 24h, lien à suivre ici
Monsieur
Blanc décrit assez bien la manipulation faite par les promoteurs pour
tatouer dans les cerveaux mous une image trompeuse des aérogénérateurs
qu'ils vendent à tour de bras en ramassant au passage des terres et des
subventions publiques, avec la bénédiction des manipulés qui applaudissent...
Pour illustrer un article ou une émission traitant des énergies renouvelables, les médias choisissent presque systématiquement des images d’éoliennes. L’un des derniers cas porte sur une information selon laquelle trois quarts de l’électricité utilisée en Suisse serait d’origine renouvelable (RTS, 18 février 2020).Mais en lisant l’article on peut s’interroger sur la pertinence de son illustration. En effet, si l’hydraulique (67,95%) est bien mis en avant, l’éolien n’est qu’à peine mentionné. Et pour cause, puisque sa part est insignifiante (0,2%), loin derrière le solaire.
Alors pourquoi cette omniprésence visiblement injustifiée des éoliennes dans les médias?
Pas très facile de trouver des illustrations suffisamment accrocheuses pour les nouvelles énergies renouvelables. Il est vrai qu’une énorme cuve à purin, des panneaux solaires noirâtres ou un forage géothermique hérissé de machineries rappelant l’industrie pétrolière n’ont pas grand-chose de séduisant.
Au contraire, l’éolienne blanche et élancée, entourée d’enfants gambadant au milieu d’une prairie bucolique, a une réelle teneur symbolique: la technologie, le changement, l’avenir de nos enfants, et j’en passe.
Et les bibliothèques d’images ne manquent pas, puisque les lobbys éoliens engagent à cet effet de gros moyens financiers. Ils tapent ainsi sur le clou pour convaincre les médias que les éoliennes ont un réel avenir en Suisse et qu’elles sont les seules à même d’illustrer la marche vers le tout renouvelable.
De son côté, le photovoltaïque est à la peine, bien que la Confédération affirme qu’il est désormais sa priorité. Selon ses dires, le photovoltaïque, en Suisse, pourrait à lui seul remplir les objectifs de la SE 2050 en matière de renouvelable. Il est vrai que les fabricants européens sont encore rares et que leurs moyens sont comparativement dérisoires par rapport à ceux des éoliens.
«On les retrouve partout: aussi bien dans les mains des manifestants que sur les sites internet»Mais depuis quelque temps les éoliennes sont aussi utilisées pour symboliser la lutte pour le climat. On les retrouve partout: aussi bien dans les mains des manifestants que sur les sites internet. Comme si la multiplication des parcs éoliens allait améliorer le bilan carbone.
Y croire serait oublier qu’une éolienne n’est qu’une usine électrique qui dépend du vent et de son intermittence. La production annuelle d’une éolienne peine à dépasser les 20% de ses capacités maximales, et il faut impérativement prévoir quelque part d’autres usines susceptibles de démarrer au quart de tour pour compenser ses baisses et absences de production.
Ce ne sont pas nos quelques installations de pompage–turbinage qui fourniront les quantités nécessaires. Ce sont des usines, le plus souvent à l’étranger, nucléaires (pouah!) ou à carburants fossiles tels que le gaz ou, pire, le charbon (pouah, pouah!).source: 24 heures
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