L'arrivée à la une de nos médias de la jeune Greta a d'emblée titillé ma méfiance. Aussi bien à son encontre qu'à l'encontre des prétendus "grands" de ce monde soudainement émus devant la frimousse de cette gamine. J'ai été impressionnée par la fluidité de son discours qui avait quelque chose de bien rodé, si vous voyez ce que je veux dire. Cette spontanéité juvénile ressemblait davantage à une brillante interprétation.
Lire cet article de Nicolas Casaux, c'est un peu voir le puzzle se réaliser en accéléré. Bon dieu, mais c'est bien sûr! Voilà ce qu'il leur fallait, une jolie rebelle sous contrôle pour anticiper les réactions en chaîne que le mouvement des gilets jaunes risquait bien de générer. Il convenait de mettre rapidement sous cloche les angoissés du réchauffement climatique avant qu'ils n'envahissent les rues de manière anarchique, leur donner l'illusion d'une prise de conscience universelle, gagner du temps...
La petite Greta avait le profil de l'emploi, hop! Dans la fosse. Ils aviseront après.
https://twitter.com/RTSinfo/status/1091254075981733888/video/1
RépondreSupprimerLa pensée de Yann Arthus Bertrand ici, un homme qui aime le vrai !
La version non virtuelle du Geai Moqueur de Hunger Games... (ceci dit mon homme est ma fille ont ete manifestés hier à Lausanne: ni vert ni greenpisse, ni nounours mités, mais des revendications anti systeme, anti industries, anti finance... Pour le moment, ça glisse pas trop. J'aurais presque pu m'y sentir à l'aise....
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