vendredi 31 mai 2013

Rendez-vous à 14h30, sur l'esplanade...

Le point de rencontre


C'est l'histoire d'une rencontre que je ne vais pas vous raconter ce matin, parce qu'elle mérite que je m'y attarde. Une rencontre avec cette jeunesse qui préoccupe tout le monde et que personne n'écoute. Une jeunesse qui n'attend pas d'Isabelle qu'elle leur souffle du vent à travers la figure dans des bouquins de m... pour justifier les incroyables dérives de notre économie. Une jeunesse qui ne veut pas de ces adultes auto-proclamés responsables de leur futur. Une jeunesse qui veut pouvoir choisir son mode vie. Une jeunesse intelligente, libre et responsable dont les connaissances dépassent largement celles de la plupart  de nos zélus. Il y a une jeunesse autre que celle débile véhiculée dans les émissions de téléréalité. Ouf! 

Pour aujourd'hui j'en resterai là. Au point de rencontre.


4 commentaires:

  1. Charles-André31 mai 2013 à 16:36

    Voici la couverture du magazine de la DDC.
    Je ne sais pas si il y a du vent là-bas, mais cette photo me coupe le souffle.
    http://www.deza.admin.ch/fr/Accueil/Eine_Welt_aktuelle_Ausgabe

    RépondreSupprimer
  2. Et si vous telechargez le pdf qui va avec la couverture,vous verrez qu'il n'y a aucun article en rapport avec la photo. Ou comment la confédération continue par tous les moyens possibles d'instiller dans nos inconscients l'équation: développement+ eoliennes = progrès.
    Vu le niveau de connaissance de nos politiciens, je me demande pas même s'ils le croient...

    RépondreSupprimer
  3. Ils m'ont fait fuir par leur musique insupportable. Je comprends bien qu'il faut se faire remarquer mais là c'était difficile de rester à 1 mètre de leur table.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ha! Ha! Ha! Oui bien sûr nous avions rendez-vous avec des jeunes. Personnellement je n'ai même pas fait attention à cela. Ce qui m'intéresse c'est le but. On dit souvent que la lutte anti-éoliennes est une lutte de vieux, alors voir arriver les jeunes dans ce débat, à mon sens cela couvre tous les bruits qui dérangent. Je suis physiquement beaucoup plus mal quand je me retrouve dans une assemblée de politiciens bien pensants, encostumés et soigneusement peignés, qui se prennent pour les dieux vivants, détenteurs des clés de notre avenir. Où encore en tenant dans les mains un livre de bécassine qui demande pardon aux jeunes de ne pas avoir réussi à imposer SA vision du monde. Beurk. Là oui, je me sens en danger de crétinerie.
      La prochaine fois, approchez-vous et demander si la musique peut être baissée, pourquoi pas? Ce qui compte c'est le but, et là-dessus nous sommes tous prêts à nous mettre d'accord, non?

      Supprimer