dimanche 6 octobre 2013

Dernière presse

Voilà c’est fait, comme je l'écrivais dans le Quotidien jurassien du 2 octobre, le GIEC a publié son nouveau rapport. Le réchauffement climatique est confirmé et l’urgence d’agir aussi.  Rien de nouveau donc. Tout va mal et cela arrange nombre d’industries qui se greffent sur les malheurs du monde. Les décisions ne se prennent pas en fonction de l’imminence des dangers qui nous menacent, mais en fonction des intérêts que l’on peut en retirer. On développera ici des énergies renouvelables sous couvert de sauver cette planète maltraitée et on ouvrira ailleurs des centrales de lignite ou de gaz très émettrices en CO 2 pour pallier aux manques de vent et de soleil. Personne n’y comprendra rien et tout sera fait pour que la confusion persiste de manière à ne pas entraver les affaires des uns et des autres. Au Qatar l’absurdité atteint des sommets avec le développement d’une technologie dont on se réjouit de connaître l’impact en matière de consommation de cette précieuse énergie, pour refroidir les terrains et les stades de foot pour la coupe du monde où l’on jouera par 50° de température, après avoir enterré les milliers de travailleurs morts sur ce chantier démentiel. N’oublions pas la nouvelle ligne d’alimentation prévue à travers la mer Baltique pour transporter le courant nucléaire russe vers l’Allemagne, officiellement championne du renouvelable et des émissions de gaz à effet de serre…
Suivre l’actualité et comprendre les décisions qui en découlent relèvent d’une gymnastique cérébrale de plus en plus compliquée, pour le plus grand bonheur des uns qui profitent du renoncement des autres. Il faut donc parfois se retirer, regarder les choses d'un autre point de vue pour retrouver la force de lutter contre l'absurde et la violence de ce monde dirigé par l'argent.

Gros plan sur la couverture de la dernière Tuile...

Je vous laisse encore quelques liens sur les déboires d'Isa, cette dame qui nous fait la morale depuis quatre ans et qui voudrait tellement se montrer sous le visage d'une bienfaitrice de l'humanité totalement désintéressée... son amour immodéré pour les éoliennes a un coût que les SIG peinent à digérer. Il vient d'être publié: 289'000 francs entre 2008 et 2013, et pour pas grand chose d'après elle, puisqu'elle a toujours minimisé ses prestations au service de cette société. N'aurait-on payé que son nom? Et bien il risque de leur coûter encore cher vu la rapidité avec laquelle sa cote baisse ces dernières semaines. Elle n'aurait jamais dû troquer ses tigres et ses dauphins contre du vent!
Article sur le Matin ici
Un autre sur les Echos ici
Ici la réponse du Grand Conseil genevois sur les relations SIG_ Ennova

À bientôt.
Voisine


image: gillesenlettonie.blogspot.com



2 commentaires:

  1. Sur le sujet du climat, un reportage ARTE pour comprendre comment des scientifiques honnêtes et courageux ont apporté la preuve que notre climat est sous influence cosmique.
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    http://www.youtube.com/watch?v=FslJIK6VNmQ
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    Scientifiquement parlant, leur travail et leur démonstration est d'une élégance rare et force le respect.
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    Toutes les questions et hypothèses plus ou moins farfelues ou réalistes sur le CO2 peuvent laisser dubitatifs, car en faire tout un fromage évite la vraie question:
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    ce qui fait peur ce n’est pas l’effet de serre, nous venons de voir que nous n’y pouvons pas grand chose, ni le CO2: s’il était réellement un problème, les "machines" de fixation de carbone existent déjà et elle nous sont disponibles sous forme de graines. Un programme de reboisement courageux et ambitieux pourrait apporter un réponse.
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    La vraie question est: notre folie consumériste nous fait détruire nos ressources mondiales en matières premières à une vitesse ahurissante, comment modifier cela?
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    Taxer le carbone n’apporte évidement aucune solution tant que le mode de fonctionnement de notre monde n’est pas fondamentalement remis en question.
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    Et c’est en cela que l’absurdité de ce programme du protocole de Kyoto rejoint celle du programme éolien. Mais réfléchir à la croissance et tenir celle-ci dans des proportions tolérables est une idée tabou. Ne pas ouvrir les yeux sur le problème et ne pas l’amener dans les parlements constitue le réel danger…
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  2. Sur le site de nos amis ardéchois, un dossier passionnant qui nous rappellera la "technique" de dénigrement des opposants pratiquée à l'envi et lors d'une séance du grand conseil vaudois par Mme Exsig Chevalley... Il paraît qu'elle s'était fait "taper sur les doigts" en fin de séance par ses propres amis politiques à cause de cette attitude pitoyable, et forcément négative pour son parti "d'écologie (libérale) industrielle".

    Suit l'analyse critique de deux études récentes commanditées par les promoteurs pour appuyer cette thèse de l'effet "nocebo", si pratique lorsque l'on ne veut pas entendre ce que l'autre a à nous dire.

    > L'étude Crichton: l’effet nocebo dans un environnement d’infrasons
    > L’étude Chapman: analyse spatio-temporelle des plaintes de riverains en
    Australie

    "NUISANCES SONORES EOLIENNES: UN DOSSIER QUI COMMENCE A FAIRE DU BRUIT:

    De l'Australie au Danemark, de la Belgique au Canada, en France et partout ailleurs, la saga du problème sanitaire éolien continue, course de vitesse dans laquelle les intérêts industriels s’efforcent de garder une longueur d'avance pour parvenir à inonder la planète d'éoliennes géantes avant que la prise de conscience ne se généralise au sein du public. On aura alors atteint le point où on s’est trouvé dès le milieu du 20e siècle avec l’automobile - des villes remplies de voitures jusqu’à en faire fuir les habitants, et depuis peu avec les ondes électromagnétiques.
    Le point où on peut dire: fait accompli, trop tard pour revenir en arrière, il faudra vivre avec, on va gérer les problèmes, on n'arrête pas le progrès, "There Is No Alternative"...
    Nous examinons les implications éthiques et politiques de ce nouveau dossier de santé environnementale."

    "14 Juillet 2013:
    Effet nocebo & théorie psychogénique: la "fabrication du doute" éolien

    Nous avons conclu notre article précédent (Note #1) en promettant d’aborder la
    "Séquence 4" de la typologie des scandales sanitaires: "La fabrication du doute par
    l'industrie lorsque l'évidence scientifique se construit". Nous avions vu comment le temps du déni des ISBF (Infrasons & Sons de Basse Fréquence) produits par les éoliennes industrielles, et du déni également de leurs effets sur la santé, touchait à sa fin.
    Dans ces circonstances, nul besoin d’invoquer une coïncidence ni un hasard de calendrier dès lors qu’au même moment, une vigoureuse campagne de "fabrication du doute" se mettait en place dans le monde entier.
    Cette campagne bat déjà son plein en Australie et Nouvelle-Zélande, alimentée par
    deux études parues au mois de Mars, l'une de l'Université d'Auckland (#2), que nous
    appellerons ici "étude Crichton", l'autre de l'Université de Sydney (#3), que nous
    appellerons "étude Chapman".
    En un mot, la "FABRICATION DU DOUTE" CONSISTE A PRESENTER LES CONCLUSIONS DE CES ETUDES COMME DES ARGUMENTS SCIENTIFIQUES EN FAVEUR DE LA "THEORIE PSYCHGENIQUE ", selon laquelle LES SYMPTÔMES DONT SE PLAIGNENT LES RIVERAINS DES CENTRALES EOLIENNES SERAIENT D'ORIGINE PUREMENT PSYCHIQUE.
    Ainsi l'exprimait déjà avec vivacité un promoteur éolien en visite dans notre secteur il y a deux ans, lorsqu’il disait à propos des riverains de parcs éoliens faisant état d’impacts négatifs sur leur santé: "ces gens-là, tout ça, c'est dans leur tête" (sic).

    L'intérêt de la "théorie psychogénique" du point de vue du lobby éolien, c'est qu'elle
    permet de dépasser la difficulté que constituent les nuisances sonores: les zélateurs de l'éolien PEUVENT ADMETTRE L'EXISTENCE DE CES NUISANCES ET EN MÊME TEMPS CONTINUER àA NIER QUE CELLES-CI SOIENT RESPONSABLES DES EFFETS SUR LA SANTE QUE BON NOMBRE DE SCIENTIFIQUES LEUR ATTRIBUENT.

    La suite sur...

    http://www.adtc07.com/p/sante_18.html

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